
— C’est si beau, la jeunesse… Est-ce que vous m’aimerez un peu ?
— Mais je vous aime déjà beaucoup, madame.
— Eh bien vous êtes la seule. On me hait.
— Pourquoi dites-vous ça ? C’est pas vrai.
— Parce que c’est pratique. Je pose en principe que tous ceux qui ne me plaisent pas me haïssent, j’ai donc toutes les raisons de les éviter. Vous devriez en faire autant.
In what would be his final film, director Maurice Tourneur delivers one of his most lyrical and visually alluring works, a melancholic ode to lost love that exemplifies the poetic realist style for which he had a particular affinity. — James Travers