— How far is it to town?
— Don’t know. Never seem to have made it.
— Well, you don’t know much.
— Huh?
— I said you don’t know much.
— Mister, I don’t know a damned thing about nothin’…
but I ain’t the one who’s lost.

D’abord, c’est beau. On a tout le temps de voir courir, respirer, tomber et mourir les chevaux, montrés comme nulle part ailleurs. Belle aussi, cette sacrée galerie d’acteurs embarqués dans des situations bien crues, bien vraies. Et puis c’est malin et parfaitement digne, tout ça, parce que même si le trait n’est jamais forcé, la course n’est que prétexte à dégommer la vacuité d’un monde mené par le pognon. Ça aussi, ça fait du bien.

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