
Une heure de délire psychanalytique, de rêve(s) bizarre(s), avec des accès cauchemardesques et des ruptures de rythme. Très 68 et pas forcément inoubliable, mais certainement intéressant.
J’aime les films de Baratier parce que c’est aussi réel que ce qu’on a dans la tête quand on rêve […]. On est forcé d’être happé. Et en même temps, ça donne beaucoup de liberté au spectateur. On prend ce qu’on veut. Il donne de quoi prendre, il donne à voir. — Jean-Pierre Bastid