
Après un générique peuplé de panneaux routiers zarbis, de doux rêveurs à qui les trente glorieuses ont foutu le vertige s’en prennent au modernisme aveugle et malmènent gentiment les corps constitués. En résumé, c’est accordéon et saint-émilion contre béton et pollution — inutile de préciser qu’on n’a guère de peine à choisir son camp.