
Comme l’écrit Robert, un film sur des gens mièvres évoluant dans un milieu superficiel risque fort de se révéler lui-même mièvre et superficiel. Quand on se penche sur les seventies cocaïnées, le risque devient énorme (et il se double de violents haut-le-cœur dès les premières mesures disco). Ici, la précision de la reconstitution et la justesse de certaines scènes (quels acteurs, tabarnak!) forcent le respect et suscitent l’intérêt. Fallait le faire, on partait de loin.