
“Baudelairisme de brasserie éventé, éculé et qui a traîné sur toutes les banquettes du Montparnasse”, écrivit Lucien Rebatet dans L’Action française à la sortie du premier Carné-Prévert, qui illustrait “l’influence déprimante des idéologies socialistes sur les artistes, même lorsqu’ils font œuvre neutre, sur la tristesse qui imprègne tout, la vie quotidienne et les productions de l’esprit dans les époques d’oppression et de chienlit marxiste comme celle que nous sommes en train de subir”.
On t’emmerde, Lucien.