Ici, le bon Indien est celui qui fait ce que veulent les Blancs. Dommage, parce que le reste est pas mal, maquillage et Technicolor (en 3D !) apportent leur pierre à l’édifice, ça galope et ça bastonne sévère.

C’est le seul western de Douglas Sirk, ensuite devenu un maître du mélo.

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