
Bien que le meurtre d’Yvonne Harrison ait depuis longtemps quitté la une des journaux, nous sommes amenés à croire que les dossiers de l’affaire, entreposés dans les locaux de la police de Thames Valley, ne dorment pas sous des tonnes de poussière […]. Chacun espère que l’identité du meurtrier sera enfin révélée. Et que sur une tombe du cimetière de Sainte-Marie, le nom de la malheureuse sera enfin correctement orthographié. — The Times, lundi 20 juillet 1998.