Un film merveilleux, un film qui renferme quelques scènes absolument inoubliables. Une fois encore sur un thème usé, rebattu, conventionnel au possible, Fellini a construit une œuvre qui ne ressemble à aucune autre. […] L’univers fellinien est proche de l’univers chaplinesque. On y retrouve la même mélancolie qui n’est pas désespoir, la même cruauté qui n’est pas amertume, et cette même confiance obstinée en le cœur des hommes qui est tout autre chose que l’optimisme béat. — Jean de Baroncelli, Le Monde, 13 mai 1957.

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