Là-bas, à droite, sur le trottoir, un petit groupe. Dès que le car s’arrête, les agents comprennent que c’est grave, car on ne les entoure pas, on ne leur dit rien, personne ne se précipite pour des explications. Certains sont en chemise et ont passé un manteau par-dessus. Tous se taisent, ils restent là, hébétés.
— Où est-ce ?
On leur désigne la maison, un immeuble banal et pauvre.
— Au quatrième…

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