Celui-ci, on l’a gardé au chaud des mois avant de l’ouvrir. Fallait attendre d’être en vacances, en mesure de tout se manger d’une traite. C’est qu’on savait qu’il nous plairait (depuis Coeurs solitaires, on a tout dévoré sans retenue), mais aussi qu’on allait morfler, les romans de John Harvey comportant toujours une part de douleur sociale qui cause, qui touche vraiment.
Dans la droite ligne des précédents, ce bouquin sonne juste, comme un vrai blues : triste, sobre et humain.

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