
Larcenet a lâché son humour pour explorer un ton plus inquiétant, un univers sans joie, parfois violent, inquiétant. On s’attache à son personnage, on admire les planches poussées dans les détails, que ce soit pour évoquer la nature ou des friches industrielles. La poésie n’est pas absente, que ce soit par un dessin d’enfant ou dans un moment de vie de la nature, simple, qui évoque de lointains souvenirs à nous autres citadins. Certains n’aiment pas cette part de Manu Larcenet. Nous, nous voulons bien poursuivre l’exploration. — Vanessa Fize