
Récit ultra-rapide, ultra-violent, avec un sens du découpage et du cadrage digne, en effet, du Aldrich de En quatrième vitesse, une admirable utilisation des décors et, pour reprendre une expression de Manchette, une “puissance d’arrêt” redoutable. Un vent glacé souffle sur cet album. C’est celui du roman noir. — François Guérif