Nous dirons de ce British qu’il n’écrit pas à la façon d’un Le Carré ou d’un papa Littell, mais plutôt comme un Connelly qui abandonnerait ses polars pour l’espionnage. C’est bien foutu et on se laisse volontiers embarquer — davantage par la construction que par le style, d’ailleurs, d’autant que la traduction n’est pas toujours légère.

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