
Il a l’esprit ailleurs, à la dérive dans un passé où il erre parmi les êtres fantomatiques qui lui encombrent la tête, et il s’efforce de répondre à la question qui l’obsède.
Souvent, Paul Auster nous emballe. Là, c’est le flop, l’ennui. On s’en tiendra aux précédents et, avec du bol, à un des prochains.