Adapté d’un roman pour la jeunesse de l’anglais Michael Morpurgo (…), le film prend une autre dimension au moment où l’histoire bascule dans la guerre, Spielberg créant alors des scènes assez magistrales, d’une grande perfection de mise en scène. Il parvient à créer de la magie dans l’environnement le plus terrible qui soit, faisant l’impasse sur les côtés les plus noirs sans pour autant sacrifier le réalisme de ses scènes. Cheval de guerre conserve son parfum de conte pour enfants. Ses recettes, très hollywoodiennes, peuvent rebuter mais lorsqu’elles sont appliquées avec une telle maestria, il est difficile de ne pas se laisser faire. L’Œil sur l’écran

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