La série Z est le parent pauvre de la série B, qui est elle-même le parent pauvre du grand cinéma. Si le budget d’une série B est modeste, celui d’une série Z est indigent. Le terme de série Z étant employé la plupart du temps pour qualifier négativement une série B jugée particulièrement médiocre et fauchée, il est généralement synonyme de grande pauvreté artistique. *

Three Days To A Kill peut parfaitement servir d’étalon pour cette mythique catégorie Z. Avec son scénario inepte, sa violence gratuite, ses acteurs lourdingues, ses cadrages médiocres, sa bande-son cracra et sa musique pénible, il coche toutes les cases.

Leave a comment