
Aaah, les films à sketches de l’après-guerre, avec vedettes venues cachetonner, scénaristes multiples et poncifs d’époque — ici, une mysogynie constante et l’inflation galopante de 1951-1952 (“le poireau monte en flèche). Pas grand chose à sauver, si ce n’est le talent et le charme de quelques seconds rôles.