Bébel est mort ces jours-ci. Vive Bébel, donc. Le mec attirait la sympathie, c’est indéniable, mais de là à hurler de bonheur en énumérant sa carrière au cinoche… Ses cartons au box office, ce Flic ou voyou et la majeure partie de ce qui s’ensuivit, ont un furieux parfum de poujadisme assumé. Bref, on aime bien Belmondo, Grisolia, Lautner et Audiard, mais ça va cinq minutes, sympathie ou pas.

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