
Pas vraiment la surprise-partie espérée. Tous les convives ne trouvent pas leur place, et – surtout – l’ambiance est plombée par l’humour lourdement narquois qui finit par envahir les réjouissances (…) Romain Gavras se tient en surplomb et — interprétant de travers la devise du mensuel Hara-Kiri — propose de rire de cet univers bête et méchant. — Thomas Sotinel