
La maladresse de l’écriture, la lourdeur des effets de comédiens peu soucieux de vraisemblance psychologique et un montage en dépit du bon sens, vont à l’encontre des intentions sentimentales de Philippe Guillard (…) Finalement, c’est peut-être la maladresse insigne avec laquelle sont disposés ces clichés qui rend Le Fils à Jo moins antipathique qu’il n’aurait pu l’être. La célébration de l’amitié virile et des bagarres du dimanche soir est moins stridente quand elle est dissimulée derrière l’immense difficulté qu’il y a à faire un film. — Thomas Sotinel