L’ambition d’Antonin Baudry est admirable, sans doute excessive (…) Le récit se fragmente en une suite d’épisodes et de coïncidences tirés par les cheveux (…) Le réalisme des procédures (on apprendra au moins ce qui nous sépare de l’apocalypse – quelques formulaires abscons) et des décors (la marine nationale n’a pas été chiche dans son appui) ne suffit pas à dissimuler ces artifices, pas plus que les efforts des acteurs. — Thomas Sotinel

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