Une reconstitution léchée du Londres de 1940 et la transformation physique d’un acteur en Churchill très crédible semblaient annoncer une certaine fidélité aux faits. Mais on n’est pas ici sur une œuvre historique, les éléments de réalisme servent un scénario hybride, tantôt conforme, tantôt approximatif et réducteur — sans parler du ridicule de certaines scènes (celle du métro, notamment). Pas besoin d’être incollable sur l’histoire de la période pour sentir qu’il y avait matière à une vulgarisation moins simplette.

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