Pas moyen ici d’échapper aux figures imposées du film-grosse-cata : une première moitié sert forcément à la mise en place des éléments de contexte, des personnages et des liens entre eux avant le déclenchement des festivités spectaculaires. Evidemment, on devine pendant cette première moitié une bonne part des éléments de suspense et des drames à venir durant la seconde moitié. A l’arrivée, on a eu droit à un film-grosse-cata de plus, certes exotique — la belle Norvège sauvage –, pas forcément trop crétin, mais au charme fatalement limité. Voilà voilà.

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