Partie avec trois vagues idées et une admiration évidente pour les Monty Python, une sympathique bande de café-théâtreux est allée s’engluer dans un assemblage comme on en voyait (ou pas) beaucoup dans le cinéma français de l’ère giscardienne : scénario maigrelet, acteurs approximatifs, images moches, montage laborieux. Il y a eu beaucoup de ces films bâclés, celui-ci étant probablement un des pires, capable que provoquer une totale hébétude une fois qu’on a cherché les noms de Roger Riffard, Sotha ou Martin Moynot au fil de leurs apparitions. Ensuite, on peut méditer avec nostalgie sur l’insouciance collective de l’époque.

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