Lucide, modeste et cultivé, Edouard Molinaro disait n’aimer qu’un de ses films sur trois. In fine, c’est pour la télévision qu’il parvint à réaliser quelques bonnes adaptations de grands auteurs qu’il aimait (Stefan Zweig, Henry James, Emile Zola). Si l’on ne devait retenir qu’un seul des ses films, ce serait peut-être le savoureux La Chasse à l’homme (1964). — Franck Nouchi

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