
Nous sommes en 1968. Accompagnés de comédiens célèbres et plutôt inspirés, kitsch et kirsch se retrouvent sur un même bateau. Ledit esquif accueille également le deuxième sexe et le second degré, un blaireau tué par un lapin, quelques pincées de causticité et donc quelques bons moments dans cette institution alsacienne pour jeunes filles où on invoque dans le désordre, mais avec ferveur, différentes valeurs sûres telles que Jésus-Christ, Charles de Gaulle, Salvatore Adamo, la choucroute garnie et ce bon vieux clitoris. Nous sommes en 1968 et ça secoue pas mal à bord, mais ça tombe bien, l’équipage avait besoin de mouvement. Peu importe la forme discutable que prend la fin de l’histoire, le message passe haut et clair, on ne se lasse pas de l’entendre.