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Chez Leone, plus c’est impitoyable, sec et décharné, meilleur c’est. L’action s’étire, l’harmonica n’en finit pas de gémir, la morale de pourrir au soleil, les bons mots de fleurir comme des cactus. Même à la dixième vision, ce deuxième spaghetti de la trilogie de L’Homme sans nom reste al dente. – Guillemette Odicino

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