Bien mélancolique mais rigolote par intermittences, une pertinente évocation de la vie de lycéens de 1976 fort préoccupés (par les filles, la dope, la politique, la musique et un peu par le bac). On croit se souvenir que ladite évocation fut snobée à sa sortie par Libération, au motif qu’elle ne faisait pas suffisamment la part belle aux luttes — on était en 1994 et l’hôpital snobait la charité.

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