Dans cette relation du rapt, par une bande mafieuse, de John Paul Getty III, descendant – mais pas héritier – de la plus grande fortune de l’époque, Rid­ley Scott déploie, avec la désinvolture d’un cinéaste qui n’a plus rien à prouver, ses défauts les plus navrants, mais aussi ses qualités les plus éprouvées – manipulation du suspense et maîtrise du grand format. Il met en scène ici son plus beau personnage féminin depuis le sergent ­Ripley d’Alien. Thomas Sotinel

Leave a comment