
Dantesque théâtre de désolation (…). Une des principales vertus du film de Saeed Roustayi réside dans la manière dont il dévoile un monde inconnu, insoupçonné, inconnu au cinéma, celui d’une société iranienne rongée par la corruption et ravagée par l’usage de drogues dures. Jean-François Rauger
Mis en scène sans aucun effet de manche, parfois à la limite du documentaire, La Loi de Téhéran réussit à jongler entre les genres et les points de vue sans esbroufe ni artifices, créant un ensemble parfait d’équilibre, limpide mais jamais évident, raide mais jamais gratuit, enchaînant des scènes qui touchent parfois au tragique absolu sans une once de pathos. Lelo Jimmy Batista