The sparing use of John Williams’ music sustains the tension in scenes, like these, that need no extra emphasis. But “Saving Private Ryan” does have a very few false notes. Like the cemetery scenes, the capture of a German soldier takes a turn for the artificial, especially when the man expresses his desperation through broad clowning. But in context, such a jarring touch is actually a relief. It’s a reminder that, after all, “Saving Private Ryan” is only a movie. Janet Maslin

Tout le monde s’accordera sur la crétinerie de l’épilogue et du prologue, ce vétéran traînant les pieds dans un cimetière militaire de Normandie devant les tombes de ses copains morts au combat, alors que ses enfants, situés en retrait, pleurent à chaudes larmes. On ne réussira pourtant pas à extraire ces deux séquences du reste du film comme un fruit pourri d’un arbre. Samuel Blumenfeld

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