
Ce portrait de Jacques Villeret (1951-2005) choisit l’angle, prévisible, du clown triste […]. Restent les anecdotes [et] les témoignages […]. Entre les lignes affleure le burlesque d’un visage — yeux exorbités, joues rondes, mâchoire tombante —, qui s’exprime à merveille dans Le Batteur du Boléro (Patrice Leconte, 1992). Nicolas Didier