Le coup de l’engrenage infernal, du destin implacable, avec des péripéties qui s’enchaînent à fond la caisse. C’est loin d’être plausible tout du long, mais l’efficacité de l’ensemble force le respect et gomme les creux du scénario (sans mentionner le sax de Gerry Mulligan et la fin du film, du genre qu’on n’oublie pas).
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