Une trentaine d’années après Boulevard du Crépuscule, avec le même William Holden, Billy Wilder, l’un des vrais cinéastes cultivés de Hollywood, règle à nouveau ses comptes avec les imbéciles et les monstres qui encombrent le cinéma. Cet art bizarre qu’un des personnages définit comme un mélange « d’effets spéciaux, de décors peints et de larmes de glycérine ». De la magie à l’état pur, en somme. De la première à la dernière image, on est sous le charme.Pierre Murat

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