
Elle aurait dû se méfier, cette gentille Montréalaise, en voyant qu’on lui proposait d’échanger sa maisonnette contre un gigantesque duplex sur le Champ-de-Mars (…). La voilà plongée au cœur d’une machination aussi invraisemblable que diabolique qui louche désespérément vers le cinéma de genre américain (…). Le film se donne des airs importants de polar à l’américaine, tenant de communiquer l’âme du Bronx à Barbès [mais] les ficelles du scénario et de la mise en scène sont trop grosses pour que la supercherie prenne vraiment. — Thomas Sotinel