Oulalah, un petit euronanar de 1967 avec tous les ingrédients d’époque. On a là un générique pop, des éléments technologiques à la James Bond, des acteurs de quatorze nationalités différentes et surtout l’ingrédient suprême, celui qui justifie qu’on consacre une heure et demie de sa précieuse et courte existence à un spectacle aussi naze : mademoiselle Maggie Box, dite Margaret Lee, plus mimi que jamais.

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