
Headline et Cabanes persistent et ils ont bien raison, tant ils réussissent leur affaire. Le roman est non seulement respecté, mais agrémenté : les choix graphiques sont épatants de bout en bout, de la représentation des personnages (tels l’arrogante Christiane Moutet ou, surtout, l’ineffable baron Jules) à la place laissée ou pas au texte de Manchette suivant les séquences, en passant par les caractères des phylactères. Miam miam.