
Quand nous remontâmes dans notre wagon, une femme y était installée.
Paul me jeta un coup d’oeil ravi ; et, d’un geste machinal, il frisa sa courte moustache, puis, soulevant un peu sa coiffure, il glissa, comme un peigne, ses cinq doigts ouverts dans ses cheveux fort dérangés par cette nuit de voyage. Puis il s’assit en face de l’inconnue.