
Ceci est mentionné dans divers ouvrages portant sur le polar post-68. On en trouve également la trace dans une chronique presse de Manchette. D’aucuns virent d’ailleurs Manchette derrière ce Dana qui sent fort le pseudo et évoque Nada. Faut dire que les quatre héros du bouquin sont des chouraveurs anars, doués au possible, mais victimes de circonstances défavorables. On a longtemps cherché en vain ledit bouquin, finalement déniché grâce à Emmaüs et aux Ateliers du Bocage, merci tout plein. C’est un polar tonique, déconnant, parfois gouleyant. On est bien content, ça fait du bien par où ça passe. Quant à l’hypothèse Manchette = Dana, on n’y croit guère.