
Avec Manara, c’est toujours la même chose : on regrette qu’il n’ait que rarement bossé sur de véritables scénarios, des histoires bien foutues, mais on se dit aussi qu’allez, on s’en fout un peu, tout ça est moins important que ce coup de patte diabolique qui n’appartient qu’à lui. Il y a pire, plus triste : de bonnes histoires mal illustrées.