
Une comédie française à l’écriture plutôt tenue, qui joue sur les stéréotypes féminins-masculins sans verser dans l’humour beauf ou rance. [Mais] on n’est pas non plus chez Blake Edwards, dont le pourtant mineur “Dans la peau d’une blonde”, bâti sur le même principe du body swap (“échange de corps”), reste des coudées au-dessus. Question de folie, d’audace et de mise en scène. — Nicolas Schaller