Dans la nuit du 12 décembre 1976, Alice Schwarzer, journaliste allemande et féministe de la première heure, reçoit en secret — et à sa demande — l’actrice Romy Schneider. Cette année-là, elle est la « Mado » de Sautet et « Une femme à sa fenêtre » sous l’œil de Granier-Deferre. Mais de cinéma, il sera peu question ; elle vient graver sur bandes quelques confessions, ces douloureux secrets qui font d’elle une grande brûlée de l’existence et donnent tant de profondeur à son jeu […] Il est entre autre question des parents de l’actrice, Magda Schneider et Wolf Albach : deux comédiens, deux purs nazis […] Romy Schneider, qui n’avait pas pardonné à [cette Allemagne], jouait des juives et des résistantes. Devenue mère, elle appela son fils David et sa fille Sarah. — Sophie Delassein

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