— Je suis Violette.
— Je n’ose y croire.
— Moi non plus.
— Tout est si étrange aujourd’hui.
— Vous êtes si jeune.
— Vous trouvez ?
— Ne perdons pas de temps.
— Pas une seconde.

Foutraque mais passionnant, ce film révèle ou confirme que la taulier d’un restau végétarien peut être le chef d’une secte cannibale, qu’une Marguerite peut dissimuler une Violette (l’inverse étant même envisageable), qu’Edwige Feuillère avait plus d’une corde à son arc, que la provoc se pratiquait fort allègrement avant 68 et que la transgression des tabous, c’est souvent miam miam.

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