Un polar sombre dont l’ambiance crépusculaire et les thèmes abordés, comme les violences faites aux femmes, rappellent les grandes séries scandinaves qui ont marqué la dernière décennie (…). De fait, il ne faut pas être trop sensible pour apprécier cette série qui jette une lumière crue sur le trafic d’êtres humains en Europe de l’Est (…). Une réalité sordide, qui puise ses sources dans un roman du journaliste d’investigation Drago Hedl. Si le rythme peut sembler parfois lent, La Fille de Kiev, tournée quelques mois avant l’invasion russe en Ukraine, prend le temps de faire exister ses différents personnages, en dehors de l’enquête qui les relie. [Une] qualité d’écriture et [une] distribution sans faute. — Cécile Jaurès

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