
L’espion qui aimait les livres réintroduit des situations et des personnages qui ont également toujours fasciné Le Carré : pères difficiles, femmes infidèles, enfants sacrifiés, vrais ou faux naïfs, politiques gouvernementales meurtrières et imbéciles, services de l’État du même tonneau, morgue des classes dirigeantes (…) Une ultime et brillante réapparition. – Claude Grimal