
Où le caustique bédéiste Lauzier prend rang au niveau d’un brave Zidi un peu inspiré ou d’un gentil Oury un peu fatigué, ni lamentable ni transcendant, plein de bienveillance, parfois drôle, presque profond par instants, bien disposé envers les humbles, sceptique face aux institutions. Certes moins efficace que quand il faisait grincer les dents, mais plutôt démerde malgré une fin convenue.